Dispatch révèle un long échange téléphonique entre Kim Hieora et l’une de ses supposées victimes

Les révélations se poursuivent dans l’affaire concernant Kim Hieora.

Récemment, Dispatch a dévoilé un long dossier en s’appuyant sur les récits de plus d’une dizaine de supposées victimes, qui accusent l’actrice Kim Hieora, apparue dans « The Glory » et « Uncanny Counter 2 », de les avoir harcelées durant leur scolarité.

Suite à cela, l’agence de l’actrice a nié les faits, mais Dispatch a ensuite révélé une lettre manuscrite de la main de Kim Hieora.

Si GRAM Entertainment ne lâche pas l’affaire, Dispatch non plus, et la situation continue de prendre de l’ampleur.

Il y a peu, Dispatch a alors révélé plus d’informations, ainsi qu’une retranscription d’un échange téléphonique entre Kim Hieora et l’une de ses supposées victimes. Suite à cela, GRAM Entertainment a également proposé dune retranscription de cet appel, expliquant que certaines parties avaient été oubliées par Dispatch.

Selon le nouveau rapport, en Mai, après avoir appris que quelqu’un avait contacté Dispatch au sujet de ses allégations de violence scolaire, Kim Hieora aurait tenté de retrouver et de contacter au moins huit personnes qu’elle connaissait au collège afin de les empêcher de se manifester et de raconter leurs histoires. En incluant ces huit personnes, Dispatch a désormais parlé à un total de 11 informateurs qui ont partagé des histoires sur les violences présumées de Kim Hieora à l’école.

Alors que Kim Hieora a pu rencontrer et s’excuser en personne auprès de sept des huit personnes qu’elle a contactées – « A », « B », « C », « D », « E », « F » et « G » – elle n’a pas réussi à convaincre « H » de la rencontrer. (L’une de ces sept réunions a été un succès : après que Kim Hieora a rencontré « A », l’informateur initial qui a contacté Dispatch au sujet d’allégations de violence scolaire, « A » a déclaré qu’ils avaient résolu leurs malentendus et a dit à Dispatch de ne pas publier les preuves qu’elle avait donné contre Kim Hieora, donc Dispatch n’a utilisé aucune preuve fournie par cette personne.)

Mais depuis le début de l’affaire, Dispatch a rapporté que trois informateurs supplémentaires – « I », « J » et « K » – les ont depuis contactés pour partager leurs propres histoires. Faisant référence à l’apparition de Kim Hieora dans le drama « The Glory », qui aborde le sujet de la violence scolaire, « K » a notamment déclaré : « Je n’arrive toujours pas à oublier les insultes de Kim Hieora. J’ai dû entendre à nouveau ces mêmes insultes dans le drama. »

Retrouvez maintenant ci-dessous les extraits de la conversation téléphonique entre « H » et Kim Hieora selon Dispatch :

H : Je savais que ce scandale à propos de toi allait exploser un jour.

Kim Hieora : C’est vrai. Je suis désolée.


H : Je pense que je suis celle que tu as le plus frappé. N’est-ce pas ?

Kim Hieora : [silence]

H : Tu ne m’as appelée qu’après la fin de « The Glory », n’est-ce pas ?

Kim Hieora : Ouais. C’est exact.


H : Eora. Si tu voulais honnêtement t’excuser auprès de moi, je pense que tu aurais dû me contacter avant « The Glory ».

H : J’ai entendu dire qu’après la fin de « The Glory », quelqu’un t’avait dénoncée à Dispatch pour violence scolaire ?

Kim Hieora : Je t’ai contactée à cause de cela.

H : Si cela n’était pas arrivé, tu ne m’aurais probablement pas contactée.

Kim Hieora : Je n’arrêtais pas de penser à vous. Honnêtement, même avant ça…

H : Eora. Honnêtement, cela me semble être une excuse. Tu vois ce que je veux dire ?

Kim Hieora : Je peux voir comment tu pourrais le prendre ainsi.

H : C’est vrai ? Donc ?


H : Donc ?

Kim Hieora : Je suis désolée.

H : Et tu admets que tu m’as frappée ?

Kim Hieora : Je suis désolée. Je suis vraiment désolée.

H : A quoi ça sert d’être désolée ? C’est la vérité. J’ai attendu ce moment.

Kim Hieora : Pouvons-nous nous rencontrer une seule fois ?

H : Sais-tu pourquoi j’ai attendu et n’ai pas accepté de te rencontrer ? Tous les autres t’ont rencontrée. Tu es allée voir « E », tu as rencontré « F » et tu as même rencontré « G » aussi. Mais sais-tu la raison pour laquelle je ne t’ai pas rencontrée ? Pourquoi devrais-je te rencontrer ?

Kim Hieora : Est-ce que tu attends de moi un aveu de culpabilité ?

H : Et toi ? Bien sûr.

Kim Hieora : Si c’est le cas, je l’admets. Mais si tu signales cela, toutes vos identités seront révélées.

H : Nos identités ? Pourquoi?

Kim Hieora : Ce qui est important, ce n’est pas la vérité ou les mensonges.

H : Eora. Nous sommes les victimes et tu es la coupable. Nos identités ? Pourquoi est-ce important ? Ce n’est pas comme si c’était nous qui avions fait quelque chose de mal. C’est toi qui as fait quelque chose de mal.


Kim Hieora : Je te présenterai mes excuses sincères à chaque fois, autant de fois que nécessaire. Je suis sincèrement désolée.

H : Eora. Tu dois traverser une période vraiment difficile en ce moment, non ? Mais que puis-je y faire ? Tu mérites de traverser une période beaucoup plus difficile encore. Parce que j’attendais ce moment. Avais-tu prévu de devenir célèbre tout en sachant que tout cela s’était produit ? Tu es incroyable.

Kim Hieora : Que penses-tu que je dois faire pour apaiser ta colère ?

H : Tu demandes ce que je pense que tu dois faire pour apaiser ma colère ? Eora. Vraiment. [soupir]

Kim Hieora : On ne peut pas se voir une seule fois ?

H : Pourquoi devrais-je te rencontrer ? J’ai une raison pour ne pas te rencontrer. Si je le voulais, je t’aurais déjà rencontrée. N’est-ce pas normal ? Parce que si je te rencontre, c’est que j’accepte tes excuses.

Kim Hieora : Tu n’es pas obligée d’accepter mes excuses.

H : Eora. Vraiment, il vaudrait vraiment mieux que tu l’admettes et que tu réfléchisses sur toi.


H : Arrête de nier les choses.

Kim Hieora : Je ne nie pas tout.

H : Alors tu ne m’as pas frappée comme ça ?

Kim Hieora : De la façon dont tu dis ça, on dirait que je te frappais beaucoup, beaucoup chaque jour…

H : Tu m’as appelée au noraebang et tu m’as frappée là-bas, tu m’as frappé dehors aussi… parce que tu me tourmentais toujours moi spécifiquement.

Kim Hieora : Je devais suivre des cours parascolaires… donc je n’ai pas toujours pu assister aux rassemblements de Big Sangji (le groupe d’iljins dont Kim Hieora est accusée d’avoir fait partie).

H : Mais dans la déclaration de ton agence, vous avez affirmé que tu n’as pas commis d’agression physique ni de violence verbale ? Je pensais que vous aviez dit que vous alliez engager des poursuites judiciaires sévères contre ces allégations ?

Kim Hieora : Le problème, c’est que…

H : Comment peux-tu dire des choses pareilles ? Tu as tellement d’audace.

Kim Hieora : [silence]

H : Dis-moi, Eora. Je pensais que tu avais dit que tu n’étais qu’une spectatrice de ce qui s’est passé. Tu as dit ça de ta propre bouche.

H : Mais tu n’étais pas qu’un spectatrice. Tu ne nous as pas frappées ? Tu ne m’as pas frappée moi ?

Kim Hieora : [silence]

H : Je pense que c’est toi qui m’as le plus tourmentée. Je ne peux pas te comprendre.

Kim Hieora : J’ai aussi mes propres souvenirs…

H : J’étais sur le point de faire quelque chose, et tu as dit : « Espèce de sal*pe, si tu ne viens pas vite, je vais tabasser F et G. » Je me souviens de cette fois. C’était un jour de pluie et je me souviens de l’allée près du collège. Ce jour-là, tu as frappé F jusqu’à ce qu’elle saigne du nez, n’est-ce pas ?

Kim Hieora : Moi ?

H : C’est vrai. Puisque tu ne t’en souviens pas…

Kim Hieora : J’ai parlé à F. F aussi…

H : Je savais que tu aurais un jour un scandale de violence scolaire. Je l’attendais, Eora. C’est pourquoi je n’ai pas accepté de te rencontrer. Tu vois ce que je veux dire, n’est-ce pas ?

Kim Hieora : Ouais.

H : Tu as gagné de l’argent jusqu’à présent, il est donc temps pour toi de réfléchir maintenant. N’est-ce pas ? Que veux-tu dire par « spectatrice » ? Ce n’est pas juste…


Kim Hieora : Parce que je demande à te rencontrer…

H : Sois honnête. Tu nous avez frappées. Tu nous avs tourmentées.

Kim Hieora : Honnêtement, je ne me souviens pas de tout. Mais c’est vrai que je t’ai fait ça.

H : Tu te souviens que tu m’as fait ça, n’est-ce pas ?

Kim Hieora : Nous étions en bons termes en première année au collège.

H : A quoi sert notre première année ?

Kim Hieora : C’est pour ça que j’ai pensé à toi encore plus souvent. Parce que je pensais que tu devais ressentir un sentiment de trahison encore plus grand et que tu devais être encore plus blessée que les autres.

H : Tu m’as particulièrement tourmentée.

Kim Hieora : Je suis désolée.


Kim Hieora : S’il te plaît, donne-moi la chance de te rencontrer une seule fois, à tout moment, et permets-moi de te présenter mes excuses en personne.

H : Je ne veux pas entendre d’excuses de ta part. Si je l’avais voulu, je t’aurais déjà rencontrée, comme les autres l’ont fait. Je te le dis, j’ai attendu ce moment. J’espère donc que tu mangez bien tes repas. Tu vois ce que je veux dire, n’est-ce pas ?

Kim Hieora : Je suis désolée de t’avoir fait souffrir jusqu’à présent.

H : Ne parlons plus. Je vais raccrocher maintenant.


GRAM Entertainment a alors pris la parole pour déclarer que certaines parties étaient manquantes dans les transcriptions de Dispatch.

L’agence a déclaré :

« L’incident entre Kim Hieora et ‘H’ est une affaire extrêmement personnelle, et notre agence n’admet ni n’est d’accord avec les affirmations de ‘H’. Comme mentionné lors de l’appel téléphonique, ‘H’ et Kim Hieora étaient amies. Cependant, Kim Hieora a subi des dommages à plusieurs reprises en raison du comportement de H, et à cause de cela, les deux se sont séparées et ont fini par se battre. Nous vous informons qu’il ne s’agit pas de harcèlement ou d’agressions répétées, comme le prétend H. »

L’agence a ensuite livré ses transcriptions de cet appel :

Kim Hieora : J’ai aussi mes propres souvenirs… dans ma mémoire, tu n’étais pas à l’école.

H : J’ai entendu dire que tu avais battu « F » jusqu’à ce qu’elle saigne du nez ?

Kim Hieora : Moi ?


H : Sois honnête. Tu nous as frappées. Tu nous as tourmentées.

Kim Hieora : Honnêtement, je ne me souviens pas de tout. Mais c’est vrai que je t’ai fait ça.

H : Tu te souviens que tu m’as fait ça, n’est-ce pas ?

Kim Hieora : J’ai même dit à « E » que je voulais te rencontrer. Parce que j’ai entendu dire que tu attendais, et que c’était quelque chose que je devais gérer, donc je ne pouvais rien y faire. Mais nous étions en bons termes en première année du collège.

H : A quoi sert notre première année ?

Kim Hieora : C’est pour ça que j’ai pensé à toi encore plus souvent. Parce que je pensais que tu devais ressentir un sentiment de trahison encore plus grand et que tu devais être encore plus blessée que les autres.

H : Tu m’as particulièrement tourmentée.

Kim Hieora : Je suis désolée. Tu n’es pas obligé de comprendre mes sentiment… mais j’essaie d’expliquer les choses qui m’inquiètent. Ce qui m’inquiète le plus maintenant, c’est que si cela est publié, mes amis ou d’autres qui ne sont pas des personnes dont vous vous souvenez pourraient être mentionnés sous leur vrai nom et leur identité pourrait être révélée. Il y aurait trop de gens qui subiraient des dégâts à cause de moi.

H : Qu’est-ce qui ne va pas avec la révélation de leur identité ? Quand ils étaient tous membres de Big Sangji ?

Kim Hieora : Non, pas ce genre d’enfants. Tu te souviens de XX ou de YY ?

H : Ah… des enfants qui étaient gentils ? Dans Big Sangji ?

Kim Hieora : Ouais.

H : Mais ils faisaient partie de Big Sangji. Comme vous l’avez dit, c’étaient des spectateurs. N’est-ce pas ? Comme vous l’avez dit dans votre communiqué, ce sont tous des spectateurs. N’est-il pas normal qu’ils soient traités de la même manière ?

Kim Hieora : Mais ils n’étaient pas là.

H : Je ne le saurais pas.

Kim Hieora : Mais si ce genre d’enfants…

H : Je veux exclure XX et YY des accusations contre Big Sangji. Je veux exclure uniquement ces deux-là de la responsabilité.


Kim Hieora : Et je pense à une réflexion personnelle.

H : Qu’est-ce que c’est tout d’un coup ? J’ai entendu les rapports sur toi à partir du 6 Mai. Si cela n’était pas arrivé, tu ne m’aurais pas contactée.

Kim Hieora : Non, je t’aurais contactée. Même avant cela, j’avais fait un effort pour demander ton numéro, mais personne autour de moi ne le connaissait.

H : Tu ne m’as contactée qu’en Juillet.

Kim Hieora : D’après mes souvenirs, je t’ai contactée en Mai…

H : Ah… pourquoi à ce moment là alors ?

Kim Hieora : Je n’arrêtais pas de penser qu’à toi.

H : Tu aurais donc dû me contacter avant. Après « The Glory », cela ne ressemble qu’à des excuses.

Kim Hieora : Je peux voir comment tu pourrais le prendre ainsi. Je suis vraiment désolée.

H : C’est bon, à quoi ça sert d’être désolée ? Tout ce que j’ai à faire c’est de te dénoncer. J’ai attendu ce moment. On dirait que tu as réussi ? Tu l’as fait.


Kim Hieora : Est-ce que tu attends de moi un aveu de culpabilité ? Alors je l’admettrai. Mais si tu signales cela…

H : J’attends ta chute. Cela ne me dérange pas que nos identités soient révélées. Parce que nous sommes les victimes et tu es la coupable. Ce n’est pas comme si nous avions fait quelque chose de mal.


Kim Hieora : Dans mon esprit immature… Bien sûr, je ne peux pas tout justifier, mais je ne pense pas avoir tourmenté une personne faible sans raison. Tu n’étais pas une personne faible là-bas.

H : Pourquoi m’as-tu tourmentée ?

Kim Hieora : Bien sûr, je n’aurais pas dû faire cela, mais je considère cela comme une rationalisation. Dans ma mémoire, toi, « E » et « F » avez passé du temps ensemble avec des gars. Mais ensuite, une élève plus âgée d’une autre école m’a beaucoup insultée et m’a traité de sal*pe. Je me suis demandée : « De quoi s’agit-il ? » Et les étudiants d’autres écoles qui passaient par là à ce moment-là m’ont également insultée. De plus, un professeur a dit que j’avais fumé une cigarette dans la ruelle et m’a beaucoup frappée. Mais c’était vous qui aviez fait tout ça. Je me souviens avoir tout pris sur moi, même si je n’aurais pas dû le faire : je pensais que j’avais subi des dommages à cause de toi, que tu étais la raison pour laquelle on disait du mal de moi.

H : Je vois. Wow, quelle rationalisation étonnante.

Kim Hieora : Mais rien de tout cela n’a d’importance. Ce que j’ai dit à « E » et « F » était la vérité et j’étais sincère.


H : Maintenant que la situation est déjà terminée, j’ai l’intention de rencontrer un journaliste dimanche. Je ne vais pas rester silencieux.

Kim Hieora : Que penses-tu que je dois faire pour apaiser ta colère ?

H : En ce moment, je veux te tuer. Alors garde ça en tête. Tu as gagné beaucoup d’argent, n’est-ce pas suffisant ? Ne nie pas les choses.

Kim Hieora : Je ne nie pas tout.


Kim Hieora : Tu parles comme si je t’avais frappée beaucoup, beaucoup chaque jour ? Tu n’étais pas à l’école.

H : Tu m’appelais toujours pour venir te rencontrer et ensuite tu me frappais.

Kim Hieora : J’étais là ? Je devais suivre des cours parascolaires, donc je ne pouvais pas toujours assister aux rassemblements de Big Sangji. J’admets ce que je peux.

H : Eora, pourquoi tu dis ça ? Même ce jour-là sur la colline, est-ce que vous m’avez entourée ou non avec les autres enfants en m’accusant d’avoir frappé OO ?


H : Même après mon retour à l’école l’année suivante, tu m’attendais toujours dehors.

Kim Hieora : Après ton retour à l’école ?

H : Je suis sûre que tu diras que tu ne t’en souviens pas. Wow, tu fais peur.

Kim Hieora : C’était en troisième année du collège ? Parce que dans ma mémoire, tu as quitté l’école cette année-là. Je suis désolée.

H : Alors pourquoi es-tu venue à Sangji quand tu étais lycéenne ? Quand je suis retournée à l’école, vous étiez en première année de lycée.

Kim Hieora : Elles sont allés vous voir à notre collège ? Je ne sais rien du tout à ce sujet… Je viens d’apprendre maintenant que tu es revenue dans notre collège l’année suivante. J’étais là ? Qui était là ? Je vais poser des questions à ce sujet.

H : WW s’est marié et a même eu des enfants. Incroyable.


Kim Hieora : Tu peux rencontrer le journaliste… mais si tu m’en donnes l’occasion, laisse-moi m’excuser. Parce que lors d’un appel téléphonique ou par SMS, seules les informations circulent…

H : J’espère juste que tu manges bien tes repas. Tu vois ce que je veux dire, n’est-ce pas ?

Kim Hieora : Je suis désolée de t’avoir fait vivre avec ce genre de blessures et de colère jusqu’à présent.

H : Je vais raccrocher maintenant.

Sources : dispatch, osen