G-DRAGON (BIGBANG) se confie sur la période où il avait des pensées sombres

G-DRAGON a récemment évoqué une période difficile de sa vie.

Le 30 octobre dernier, le membre de BIGBANG est apparu en tant qu’invité dans un nouvel épisode de « You Quiz on the Block » sur tvN.

Au cours de l’émission, GD a déclaré :

« J’ai déjà pensé à arrêter la sortie d’albums. Je vis en tant que G-DRAGON depuis plus de 20 ans, mais je vis seulement depuis environ 5 ans en tant que Kwon Ji Yong. J’ai reçu beaucoup d’amour et je ne manque de rien, mais je me demandais si j’étais vraiment heureux. Je devrais l’être. »

Il a ensuite poursuivi :

« Malgré le fait que je reçoive autant d’amour, en dehors de la scène, je quittais rarement mon studio. Tout était centré là-bas ; c’est devenu mon monde entier, comme dans le film The Truman Show. Je me débrouillais si bien qu’il était difficile de demander de l’aide. J’avais l’impression que l’on me verrait comme quelqu’un qui se plaint tout en étant privilégié. Avec le recul, je ne pense pas que je referais la même chose. »

Ces derniers temps, Kwon Ji Yong laisse revenir G-DRAGON pour se replonger dans la musique.

C’est ainsi qu’il confie :

« Ces jours-ci, je vis tellement comme Ji Yong que j’ai l’impression qu’il est temps de retrouver G-Dragon. J’ai l’impression de revenir à ma routine habituelle : caméras, maquillage, rasage, chaussures de ville et rencontres avec d’autres célébrités. Je viens juste de commencer le processus de comeback, donc je prends les choses étape par étape avec bonheur. Environ dix ans se sont écoulés depuis que j’ai atteint la vingtaine, alors je me suis permis de me détendre de manière positive. »

Sur un autre ton, il a ensuite évoqué sa santé mentale, n’hésitant pas à exprimer qu’il avait déjà eu des idées sombres à une période de sa vie.

Il explique :

« Après avoir vécu une vie aussi flashy pendant plus de la moitié de ma vie, des situations indépendantes de ma volonté surviennent. J’essaie de gérer autant que je peux, mais je me sens souvent acculé dans un coin sans réponse. Je sais que je devrais éviter de penser à cela comme à une impasse et imaginer qu’il y a de l’espace derrière moi, mais parfois, j’avais vraiment l’impression d’être acculé. Je n’arrivais pas à avancer et j’avais peur que si mon état mental se détériorait davantage, je pourrais commencer à avoir des pensées sombres, alors je me suis forcée à rester centré. Je ne voulais pas répéter ces difficultés comme avant. À l’époque, je pense que mon problème était de trop essayer de surmonter les difficultés. »

Source : nate