Kang Ji Seob brise le silence sur ses liens avec la secte JMS

Kang Ji Seob a pris la parole pour clarifier sa position concernant les rumeurs l’associant à la secte JMS, partageant ses sentiments face à la polémique et expliquant les circonstances de cette histoire.

Pour rappel, la secte JMS a été fondée par Jeong Myeong Seok, autoproclamé messie, condamné à plusieurs reprises pour agressions sexuelles sur ses fidèles. Le groupe, au centre du documentaire choc de Netflix Au Nom de Dieu : Une Trahison Sacrée, a attiré de nombreux adeptes sous couvert d’activités religieuses et culturelles.

Lors de l’épisode de « Dr. Oh’s Stay » diffusé le 11 août sur MBN, l’acteur est revenu sur les accusations qui le lient à la secte :

« Je pensais être sur la bonne voie, mais c’était la mauvaise. Par ignorance, j’ai été stigmatisé. J’y suis allé pour trouver la paix intérieure. Je ne voulais pas tomber dans un endroit nocif, mais je ne savais pas que c’en était un. À un moment, j’ai même cru que ma carrière allait s’arrêter à cause de ça. »

Kang Ji Seob a expliqué que son lien avec la JMS remontait à ses années universitaires.

« En 2023, Netflix a sorti Au Nom de Dieu : Une Trahison Sacrée, qui évoque l’organisation que j’avais fréquentée. Tout a commencé un jour où, en me rendant à un petit boulot, quelqu’un m’a abordé en me disant que j’étais grand et que je devrais faire du mannequinat. Comme j’envoyais justement des photos à des agences, j’ai cru que c’était lié. »

Après plusieurs rencontres, il a été invité à des études bibliques.

« Dès le départ, il y avait des choses étranges : on ne nous autorisait pas à assister au culte avant d’avoir suivi environ 30 leçons. Et ils chantaient des cantiques d’une manière étrange, en réécrivant des chansons trot pour en faire des chants religieux. C’était bizarre, mais les gens paraissaient purs et gentils. Beaucoup venaient d’universités prestigieuses, même de Harvard. Je ne me suis pas méfié, je voulais juste devenir meilleur comme eux. »

L’acteur affirme avoir cessé de fréquenter le groupe vers 2017, avant la pandémie. Mais le documentaire et les révélations médiatiques sur la JMS l’ont rattrapé.

« On disait que certains acteurs en faisaient partie, mais je pensais que ça ne me concernait pas puisque j’avais arrêté depuis longtemps. »

La controverse a pris de l’ampleur lorsqu’un tableau lié à la secte JMS est apparu chez lui dans l’émission « Free Doctor M » (tvN) en 2022, suivi d’une publication datant de 2012 où il félicitait le leader pour son anniversaire.

« J’ai reçu des messages me demandant combien de femmes j’avais “offertes” au leader… C’était très dur. Mon agence m’a même conseillé de porter une pancarte disant que je n’étais pas impliqué. À partir de là, je me suis senti totalement isolé. »

L’acteur raconte que ses amis ont cessé de le contacter et que sa famille a beaucoup souffert de la situation :

« Ma mère et ma sœur ont beaucoup pleuré, elles avaient peur que je fasse quelque chose de grave. J’ai fini par reconnaître que c’était ma faute par ignorance. Je me contentais d’assister au culte au fond de la salle, mais rien que ça suffisait pour que les gens pensent que j’étais un adepte. »

Pour prouver son innocence, il a détruit le tableau incriminé :

« J’ai arraché le cadre, c’était difficile à déchirer. Par colère, j’ai froissé la photo et je l’ai postée, mais ça n’a fait qu’empirer les choses. On m’a accusé d’avoir fait un faux, de vouloir le réutiliser, d’avoir prévu ça depuis le début… J’ai compris que peu importe ce que je ferais, ça ne changerait rien, alors j’ai cessé d’en parler. »

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