Au cours des deux derniers jours, des articles spéculatifs concernant le statut de résidente de Hanni en Corée du Sud ont inondé les médias et de fausses informations se sont répandues. Nous aimerions profiter de cette occasion pour corriger ces inexactitudes.

Un nouveau visa a été délivré hier (11 février) à Hanni, dans le cadre de procédures légales.

ADOR a fait pression sur Hanni et ses parents en utilisant la question sensible des visas, qui est naturellement une question délicate pour les résidents étrangers en Corée du Sud. Ils ont exigé qu’elle signe un accord de prolongation qui mentionnait ADOR comme son agence, déclarant que le non-respect de cette obligation pourrait entraîner une résidence illégale. De plus, ils ont agi de manière inappropriée en soumettant des informations personnelles et des documents nécessitant sa signature aux institutions concernées sans son consentement et en ne l’informant qu’après coup. De telles actions sont difficiles à comprendre du point de vue du bon sens.

Certains médias, sur la base d’informations non vérifiées, ont utilisé de manière irresponsable des termes tels que « résidente illégale » et ont répandu de fausses rumeurs, provoquant même des plaintes publiques inutiles. De plus, ces médias ont cité des sources telles que « des responsables anonymes de l’industrie musicale » ou « plusieurs responsables de l’industrie musicale » pour diffuser de fausses informations. Dans des rapports précédents, il a été déclaré que « ADOR avait préparé tous les documents nécessaires à la prolongation du visa et avait tenté de faire la demande, mais Hanni avait refusé de signer ». Cela contredit la déclaration d’ADOR dans les articles d’aujourd’hui selon laquelle ils n’étaient « pas en mesure de confirmer la situation. »

Près de 70 articles ont été publiés au cours des deux derniers jours, spéculant sur des détails privés tels que le type de visa et sa date d’expiration, des informations qui ne doivent pas être divulguées. Cela a entraîné une grave violation des droits de la personne. Nous exprimons nos profonds regrets que des informations sensibles, auxquelles seule ADOR, en tant qu’agence, pouvait avoir accès, aient été diffusées de manière imprudente par les médias.

L’utilisation ou la divulgation non autorisée d’informations personnelles est inacceptable, et nous pensons que la publication d’articles sans vérifier ces informations est un problème grave. Dans le passé, il y a également eu des cas où les informations personnelles de membres ont été utilisées pour obtenir des détails sur leurs dossiers d’immigration. La situation devient de plus en plus grave, et nous envisageons maintenant une action en justice pour protéger les membres.