Bang Chan obtient une décision en sa faveur.
Le chanteur a récemment engagé une procédure judiciaire après la circulation sur les réseaux sociaux de deepfakes le montrant dans des vidéos explicites et contenant des propos racistes. Bang Chan a fermement démenti ces images, affirmant qu’elles sont entièrement fausses et qu’elles portent atteinte à sa réputation ainsi qu’à son bien-être.
Aux États-Unis, un juge fédéral en Californie a donné son accord le 5 septembre, permettant à Bang Chan de demander à X (Twitter) des informations de base pour identifier les personnes derrière les comptes ayant diffusé ces vidéos. La demande avait été déposée le 1er septembre, et dans le même temps, Felix a lui aussi soumis une requête similaire le 3 septembre. Les deux procédures ont été validées dès le 5 septembre. (lire aussi : Felix (Stray Kids) obtient l’identité d’un internaute qui l’accuse de maltraiter son staff)
Selon les documents judiciaires, deux comptes de X ont utilisé l’intelligence artificielle pour coller le visage de Bang Chan sur des extraits vidéo et donner l’illusion qu’il prononçait des propos obscènes et racistes. « Ces vidéos sont fausses. Je n’ai jamais consenti à leur création ni à leur diffusion », a déclaré le camp de l’artiste, soulignant le stress et la souffrance causés par ces contenus.
Grâce à cette décision de justice, Bang Chan pourra adresser une demande officielle à X pour obtenir les données nécessaires à l’identification des responsables — comme l’adresse mail utilisée lors de l’inscription, le numéro de téléphone lié au compte ou encore les historiques de connexion. Ces informations pourraient ensuite être utilisées en Corée pour lancer une action en diffamation devant le tribunal du district Est de Séoul. Felix, de son côté, poursuit une procédure distincte visant d’autres utilisateurs anonymes.
La partie coréenne du dossier est suivie par l’avocat Jeong Kyung Seok du cabinet Riu Law Firm, connu notamment pour avoir identifié l’administratrice de la chaîne YouTube Sojang, spécialisée dans les rumeurs malveillantes, et notamment condamnée pour sa haine à l’encontre de Jang Wonyoung (IVE). (lire aussi : Starship et Jang Wonyoung (IVE) poursuivent leurs actions contre Sojang : « Il ne s’agit pas d’argent, mais de sanction ») Son expérience est aujourd’hui mise en avant comme un atout précieux pour les affaires de Bang Chan et Felix.
Avec ces autorisations judiciaires, les deux membres de Stray Kids disposent désormais d’une voie claire pour tenter d’identifier les auteurs de ces comptes, engager des poursuites en Corée et défendre leur réputation devant la justice.
Source : naver
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