Le PDG de PLEDIS, Han Sung Soo, accusé par Dispatch d’avoir volé des royalties sur la musique de IZ*ONE sous le nom de sa femme

Le PDG de PLEDIS Entertainment a été accusé de voler des royalties à la musique de IZ*ONE.

Il faut avant tout comprendre que Han Sung Soo était le producteur général de IZ*ONE depuis la fin de PRODUCE 48, un poste qu’il a finalement quitté en Mars dernier, ce qui explique son rôle au sein de la musique du groupe.

Ce 26 Mai, Dispatch a révélé que Han Sung Soo avait injustement pris des royalties sur 8 chansons de IZ*ONE sous le nom de ‘So Jay’. Selon Dispatch, l’identité de ‘So Jay’ est celle de la femme du PDG de PLEDIS Entertainment, une femme qui travaille en tant que directrice visuelle, mais qui n’a aucune expérience en musique et qui n’a jamais participé à la création de ces 8 chansons.

Parmi ces 8 chansons, on retrouve notamment ‘Violeta’, ‘Destiny’, ‘Pink Blusher’ et ‘Open Your Eyes’, mais aussi ‘We Together’.

Sur ‘Pink Blusher’, les parts de So Jay sont même 50% plus importantes que celles de toutes les autres personnes créditées pour la création de la chanson.

Pour ce qui est de ‘We Together’, il s’agit d’une chanson créée à la base pour PRODUCE 48. Sortie en Septembre 2018, cette chanson était une création de BUMZU et Baekho (NU’EST), leurs deux noms apparaissant aux crédits de ce titre. Toutefois, quand la piste a été reprise par IZ*ONE dans son premier album un mois plus tard à peine, le nom de So Jay avait été ajouté aux crédits.

Selon Dispatch, Han Sung Soo utilise donc ce nom pour voler des royalties sur la musique de IZ*ONE, royalties qui devraient normalement revenir aux véritables personnes ayant travaillé sur ces chansons.

PLEDIS Entertainment s’est par la suite exprimé, répondant : « C’est le PDG Han Sung Soo qui a participé à ces chansons, et il a pris la décision d’utiliser le nom de sa femme et non pas le sien. »

De son côté, Han Sung Soo a déclaré : « J’ai participé personnellement au processus de création de la musique. Malgré cela, c’était irréfléchi de ma part de recevoir des royalties sous le nom de ma femme. Tout ce que je voulais était d’être compensé pour mon travail. Je voulais être reconnu pour ma participation. Je n’y ai pas réfléchi. J’ai été avide et je ne me suis pas montré à la hauteur de la dignité qu’un producteur se doit d’avoir. Je m’excuse. »

Sources : dispatch, sportskhan