NewJeans prêtes à revenir chez ADOR… si Min Hee Jin récupère son poste

Le conflit opposant NewJeans à ADOR et HYBE continue de faire couler beaucoup d’encre, mais un possible retournement de situation a été évoqué lors de la dernière audience.

Le 24 juillet, le tribunal du district central de Séoul a tenu la troisième audience du procès civil intenté par ADOR, visant à faire reconnaître la validité des contrats exclusifs signés avec les membres du groupe : Minji, Hanni, Danielle, Haerin et Hyein.

Lors de cette session, l’équipe juridique des NewJeans a affirmé que les membres seraient prêtes à revenir chez ADOR… mais uniquement si l’agence retrouvait son état d’origine, avant l’audit déclenché par HYBE.

« Tout a commencé avec l’audit lancé par HYBE en avril dernier. On parlait alors de tentative de prise de contrôle ou de vol du groupe, mais aucune de ces accusations n’a été retenue comme motif officiel du licenciement de Min Hee Jin. Durant cette période, personne n’a protégé les membres. On leur a juste dit de rester à leur place et d’obéir », a déclaré l’avocat.

NewJeans

Les avocats ont également rappelé que la police a récemment classé sans suite une plainte déposée par HYBE contre Min Hee Jin, concluant qu’il ne s’agissait pas d’un abus de confiance mais d’actions relevant de ses fonctions en tant que CEO d’ADOR.

La défense des membres a ensuite appuyé : « Le ADOR d’aujourd’hui, contrôlé par HYBE, n’a plus rien à voir avec l’agence qui a signé les contrats à l’origine. C’est comme si on avait changé la carte SIM d’un téléphone : ce n’est plus le même appareil. »

Les membres pointent aussi un manque total de soutien de la part de HYBE pendant la crise, notamment lors du scandale autour de Hanni, « traitée comme une menteuse » au lieu d’être protégée.

Mais elles précisent : « Si ADOR retrouvait sa structure d’origine, les filles reviendraient sans qu’on ait à les supplier. » Une allusion claire à un éventuel retour si Min Hee Jin était réintégrée à la tête de l’agence.

En réponse, ADOR accuse de son côté les membres de changer constamment les motifs de rupture de contrat, qualifiant leurs arguments de « non fondés ». L’agence promet de soumettre des réponses détaillées avant la prochaine audience.

Pour rappel, ADOR avait déjà obtenu une injonction du tribunal interdisant aux membres de signer de nouveaux contrats publicitaires en dehors de l’agence, une décision confirmée en appel.

Source : naver

Lire aussi :
Corée du Sud : L’homme qui a tué son fils avec un fusil artisanal révèle l’effroyable raison de son crime
Une ex-membre d’un boygroup de K-POP fait son coming-out transgenre
Jin révèle que les BTS rejettent la plupart des offres de publicité qu’ils reçoivent

Suivez K-GEN sur Instagram :