SBS dévoile qu’un officier de police a dissimulé des preuves dans la précédente affaire de sextape de Jung Joon Young à l’insu de sa petite amie

Jung Joon Young continue de sombrer.

Après avoir reconnu sa culpabilité dans l’affaires des vidéos de femmes prises en caméra cachée, dont parfois durant leurs ébats sexuels, le jeune homme continue de voir des révélations à son sujet sortir dans les médias.

Aujourd’hui, SBS s’attaque à une affaire plus ancienne.

En effet, en 2016, l’ex-petite amie de Jung Joon Young l’avait attaqué en justice en l’accusant d’avoir filmé leurs ébats sexuels sans son consentement.

A l’époque, l’affaire s’était réglée quand la jeune femme avait finalement abandonné les charges contre lui, la police s’empressant de boucler l’affaire par manque de preuves.

L’élément décisif dans cette affaire était le téléphone de Jung Joon Young : un téléphone cassé à l’époque mais qui avait été remis à une compagnie pour analyse afin de retrouver son contenu.

Aujourd’hui, il a alors été révélé que l’officier de police en charge de l’enquête avait demandé la suppression totale du téléphone de Jung Joon Young durant l’enquête.

Le 22 Août 2016, l’officier de police a appelé la compagnie en charge des analyses et demandé : « Puisque nous travaillons sur l’affaire, il y a quelque-chose qui est un peu compliqué. Jung Joon Young nous a dit qu’il avait laissé les données à l’intérieur. Est-ce que ça ne prend pas du temps ? Il l’a admis lui-même de toute manière, et nous n’avons pas beaucoup de temps, alors je voulais demander, comme l’appareil est un peu ancien et usé, si vous ne pouviez pas écrire une lettre de confirmation disant que les données ne peuvent pas être récupérées et que le téléphone est inutilisable ? »

La personne au bout du fil lui a répondu : « Nous faisons notre travail, alors il faut suivre la procédure. Je dois aussi déclarer pourquoi les données ne peuvent pas être restaurées, alors je ne suis pas sûr au sujet de cette requête. »

Puisque l’employé a refusé sa demande, la police a rapidement conclu l’enquête avant que la compagnie n’ait fini de récupérer les données du téléphone.

SBS est alors allé questionner l’officier en question, et ce dernier a d’abord déclaré : « C’est la première fois que j’entends les mots ‘données qui ne peuvent pas être récupérées’. Aucun officier n’a jamais fait ce genre de demande à une compagnie privée. L’enquête suit son cours. »

Les journalistes de SBS lui ont alors fait écouter l’enregistrement de son appel téléphonique enregistré par la société en question à l’époque, prouvant qu’il avait bel et bien fait cette demande par téléphone.

L’officier de police a alors repris cette fois-ci : « Il est vrai que c’est moi qui ai passé cet appel, mais je n’étais pas dans une situation de dire quelque-chose à vce point là. Je ne me rappelle pas vraiment de la situation à l’époque, ni de pourquoi nous n’avons pas récupéré le téléphone pendant l’enquête. Est-ce que je suis dans une position délicate maintenant ? »