Un idol masculin condamné à de la prison avec sursis pour avoir violé un autre membre de son groupe

L’idol accusé a finalement écopé d’un sursis.

Un idol masculin, ancien membre d’un groupe, était en effet accusé d’avoir violé pendant plusieurs années un autre membre du groupe dont il faisait partie.

En Avril dernier, il avait été confirmé que l’affaire allait être jugée devant un tribunal. Le garçon était d’accusé d’avoir harcelé, attouché sexuellement et violé un autre membre de son groupe depuis la période où ils étaient trainees et après leurs débuts.

Le procureur réclamait trois ans de prison, que l’identité du coupable soit révélée, qu’il soit interdit de recrutement pendant cinq ans, et qu’il doive suivre un programme de sensibilisation contre les violences sexuelles.

D’après les médias, l’idol en question était accusé d’avoir procédé à des attouchements sur un autre membre au moins trois fois entre 2017 et 2021, dans les dortoirs et la salle d’entraînement. L’idol a reconnu les charges retenues contre lui et a exprimé des remords. Toutefois, il dit ne pas se souvenir de tout car il était soi-disant ivre au moment de certains des faits.

La victime avait porté plainte contre lui pour abus en 2021, et l’idol avait finalement été arrêté pour viol en Janvier 2023. Suite à cet incident, l’accusé a quitté le groupe pour de soi-disant raisons personnelles, et l’agence a déclaré qu’un communiqué serait mis en ligne ultérieurement.

Comme le signalait l’avocat Park Joo Hee, il est malheureux que de nombreuses célébrités ne puissent pas porter plainte et n’osent pas dénoncer leurs agresseurs par peur des répercussions négatives que cela pourrait avoir sur leur carrière.

Cela est d’autant plus difficile comme dans cette affaire où un garçon devait littéralement dénoncer un autre membre de son groupe, avec lequel il était obligé de vivre tous les jours.

Ce 30 Mai, la justice a rendu son verdict dans cette affaire.

L’idol en question a été reconnu coupable de toutes les charges retenues contre lui, et il a été condamné à deux ans et demi de prison avec sursis, un sursis s’étendant sur 3 ans. Cela signifie qu’il ne va donc pas faire de prison, et qu’il n’ira en prison que s’il brise les règles de sa mise en liberté au cours des 3 prochaines années.

Il devra également suivre un programme de 80 heures de sensibilisation contre les violences sexuelles.

Source : xportsnews