Dispatch dévoile des extraits d’une conversation avec Jung Joon Young dans laquelle des membres de groupes féminins sont insultées

Les révélations continuent dans l’affaire au sujet de Jung Joon Young.

SBS a récemment révélé des messages de la chat room que Jung Joon Young partage notamment avec Seungri (BIGBANG) et d’autres célébrités, et dans laquelle Jung Joon Young partage avec eux des photos et vidéos de femmes qu’il filme en caméra cachée, certaines ayant été prises durant ses ébats sexuels avec les femmes concernées.

Aujourd’hui, Jung Joon Young a immédiatement été placé comme suspect par la police à son arrivée en Corée du Sud, et il a été secoué à son départ de l’aéroport.

Ce 12 Mars, c’est Dispatch qui a révélé de nouveaux extraits de conversations présentes dans le téléphone du jeune homme.

Selon Dispatch, Jung Joon Young possède plus de 10 conversations de groupe et individuelles dans lesquelles il partageait des vidéos et des photos prises à l’insu de jeunes femmes.

Ces chat rooms sont séparées en deux catégories : Celles formées pour le business et qu’il partage avec Seungri et ses connaissances (liées au possible réseau de prostitution), et d’autres qu’il partage avec ses propres amis et qui ne sont pas liées à Seungri ou aux affaires concernant le réseau de prostitution.

Dans les extraits dévoilés par Dispatch, on apprend que – dans les conversations avec ses amis – Jung Joon Young parlait notamment de membres de groupes féminins, et dans des termes peu élogieux…

Dans l’un des extraits – où Jung Joon Young n’apparaît pas lui-même – on peut voir les amis de ce dernier déclarer :

« A : XX a eu un coup d’un soir avec OO (membre de groupe féminin).
B : Hey XX, est-ce que OO est bonne alors ?
C : Moi j’ai vu YY hier.
D : Ah ! YY est une vraie pute. »

Dans une autre conversation avec Jung Joon Young cette fois-ci, on peut lire dans l’extrait :

« Jung Joon Young : C’est quoi le nom de ta chanson titre ?
A : Ma chanson titre ? XXXXX.
Jung Joon Young : Oh, c’est une chanson pour les vagins. (Sous-entendant ‘pour les filles’ de façon insultante et péjorative) »

Source : Dispatch