L’infirmière accusée d’avoir quitté son poste pour vacciner Jin (BTS) nie les accusations et donne sa version des faits

Cette histoire se poursuit.

Récemment, nous avions appris les faits qui se sont déroulés mi-Janvier, et qui pourraient valoir à la coupable un an d’emprisonnement.

Mi-Janvier, la femme en question aurait quitté son poste au sein de la 28ème Division d’Infanterie sans l’accord de ses supérieurs pour se rendre au Centre d’entraînement de la 5ème Division, et ce afin d’administrer elle-même un vaccin à Jin (BTS).

Âgée d’une vingtaine d’année, l’infirmière a conduit pendant 30 minutes pour se rendre de son lieu de travail jusqu’au centre d’entraînement de la 5ème Division, où Jin était en activité.

Grâce à sa relation avec un médecin du centre d’entraînement de la 5ème Division, elle aurait échafaudé son plan afin d’approcher Jin, un plan qu’elle aurait mis en place aux côtés du médecin.

Entre 13h30 et 15h30 le jour venu, elle était donc présente au centre d’entraînement et a elle-même administré à Jin le second vaccin contre la fièvre hémorragique, avant de regagner son poste. On dit qu’elle aurait partagé autour d’elle que « Jin souffrait beaucoup. »

En ayant quitté son poste sans en prévenir ses supérieurs pour aller administrer un vaccin dans une autre unité, elle encourt jusqu’à un an de prison selon les lois militaires.

Ce 20 Juin, le représentant légal de l’infirmière s’est exprimé sur la situation pour nier les accusations à l’encontre de la jeune femme.

Le représentant légal a déclaré :

« Ma cliente, ‘A’, a reçu une requête de la part d’une autre infirmière située à la base du Centre d’entraînement de la 5ème Division de venir lui prêter assistance une semaine plus tôt pour les vaccinations qui se déroulaient le jour là. Elle n’a répondu favorablement que pour aider avec les vaccinations.

L’infirmière sur place avait envoyé sa demande une semaine plus tôt pour la date des vaccinations. A ce moment là, la plupart des officiers et du staff travaillant sur la base étaient en repos, ce qui est la raison pour laquelle l’infirmière a demandé l’aide de la base où travaille ‘A’, une base où elle connaissait plusieurs infirmières et collègues de son âge.

‘A’ a administré des vaccins à environ 200 soldats en une heure, à raison de 3 doses par soldat. Il n’y avait pas le temps de discuter avec les soldats, ni même de regarder leurs visages. Les soldats portaient des masques, donc ‘A’ n’aurait pas pu reconnaître Jin.

‘A’ avait d’ailleurs reçu la permission de la part du directeur du staff sur sa base pour aller aider à réaliser les vaccinations sur l’autre base.

‘A’ coopérera avec l’enquête en cours jusqu’à ce que l’affaire soit résolue. »

Source : moneytoday