Moonbyul révèle que l’agence de MAMAMOO avait mis des caméras dans leur dortoir pour les surveiller

Moonbyul de MAMAMOO a récemment surpris les fans en dévoilant le degré de contrôle et de surveillance auquel elle et son groupe ont été soumis à leurs débuts.

Le 26 septembre, la chaîne YouTube Just Lee Mijoo a mis en ligne une nouvelle vidéo intitulée « Secrets du métier de la K-POP, il est temps d’en parler ». On y retrouvait Moonbyul (MAMAMOO), Youngji (KARA), Hyojung (Oh My Girl) et Seulgi (Red Velvet), qui se sont remémorées leurs expériences de trainees et de rookies.

À la question de Lee Mijoo concernant les règles imposées par les agences, Seulgi a répondu : « À l’époque, ils nous prenaient nos téléphones, non ? » Ce à quoi Moonbyul a ajouté : « C’est pour ça qu’on s’envoyait des e-mails. » Youngji a, elle, expliqué : « On avait un seul iPad qu’on devait toutes se partager à tour de rôle. »

Moonbyul a aussi raconté qu’elles utilisaient souvent des routeurs Wi-Fi portables pour rester connectées à l’extérieur, puisque les données mobiles étaient limitées.

Mais c’est une autre révélation qui a choqué tout le monde : « On avait des caméras de surveillance. Il y en avait une devant la maison, et même une dans la cuisine, » a révélé Moonbyul.

Elle a partagé une anecdote sur la manière dont elles trompaient les caméras pour sortir discrètement : « On faisait semblant d’aller faire du sport. On enfilait des tenues de sport, on prenait une corde à sauter, et on chuchotait ‘On va s’entraîner ?’ pour que les caméras ne captent pas qu’on sortait. »

Les autres idols ont raconté leurs propres restrictions : Mijoo n’avait pas le droit d’aller à l’épicerie, Hyojung a expliqué qu’à leurs débuts, les membres de Oh My Girl devaient aller aux toilettes par deux, main dans la main, car les managers refusaient de les laisser seules. Seulgi s’est souvenue avoir été choquée de voir à quel point elles paraissaient jeunes à ce moment-là.

Concernant la raison derrière ce contrôle extrême, Hyojung a précisé : « Ils avaient peur qu’on croise des idols masculins du regard ou qu’on reçoive des petits mots. » Si elle-même n’en a jamais reçu, Moonbyul a avoué le contraire : « En fait, j’en ai eu un une fois. Pas dans une émission, mais via du staff dans un salon. Il y avait une adresse e-mail dessus. Je pensais que c’était juste pour devenir amis, mais en réalité, c’était de la drague, » a-t-elle confié timidement, précisant que le mot venait d’un idol masculin. Seulgi a immédiatement plaisanté : « Il faut qu’on découvre qui c’était à l’époque ! »

Ces révélations ont déclenché de nombreuses discussions en ligne, mettant en lumière la surveillance étroite et parfois choquante que de nombreux idols ont subie au début de leur carrière.

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