Daisy révèle que MLD l’a empêchée de reprendre ses activités avec MOMOLAND et lui demande 845 000 euros pour rompre son contrat

Daisy (MOMOLAND) a fait de nouvelles révélations au sujet de son différend avec MLD Entertainment.

Ce 7 Janvier, la jeune femme a accusé l’agence d’avoir manipulé l’émission ‘Finding MOMOLAND’ ayant créé le groupe féminin, mais aussi de lui avoir fait payer une grosse somme d’argent pour son apparition dans le survival. MLD Entertainment a par la suite répondu, annonçant des poursuites judiciaires à son encontre.

Dans la soirée, KBS a alors dévoilé une plus grande partie de son interview avec Daisy et sa mère durant son journal télévisé, et nous avons appris de nouvelles choses.

Selon KBS, Daisy était en conflit avec l’agence depuis longtemps, et c’est pourquoi elle a demandé la rupture de son contrat. Toutefois, la compagnie lui a alors demandé de payer une lourde pénalité pour rompre son contrat.

KBS explique que tout a commencé quand Daisy n’a pas pris part au comeback de MOMOLAND pour des raisons personnelles en Mars 2019.

Dès le mois de Mai, Daisy se sentait toutefois enfin prête à reprendre les promotions, mais elle n’a quand même pas pu avoir la moindre activité pendant les 8 mois suivants.

Daisy a déclaré : « Je leur ai dit que je pouvais promouvoir de nouveau, mais ils n’arrêtaient pas de me dire : ‘Non, ce serait bien que tu te reposes’. »

Incapable de travailler parce que son agence ne la laissait pas reprendre ses activités, Daisy a alors demandé la rupture de son contrat, mais l’agence lui a demandé de payer une pénalité de 1,1 milliard de wons, soit environ 845 000 euros, pour la libérer de son contrat.

Dans un contrat standard, un artiste doit en effet payer une pénalité à l’agence en cas de rupture de contrat, pénalité regroupant notamment les dépenses réalisées par l’agence pour l’artiste, ainsi qu’un somme compensant les dommages liés au départ de l’artiste.

D’après l’avocat contacté par KBS : « L’agence va devoir prouver qu’elle a bien rempli son devoir envers l’artiste, que l’artiste souhaite rompre son contrat de façon unilatérale, et que l’artiste a véritablement violé les termes de son contrat. »