La journaliste de SBS funE n’a pas envie qu’on la fasse passer pour une menteuse.

Hier, le média SBS funE a publié en ligne des échanges de messages entre Seungri (BIGBANG) et d’autres personnes. Ces messages, s’ils venaient à s’avérer vrais, prouveraient que Seungri et son associé au sein de Yuri Holdings ont utilisé des prostituées et fait du lobbying pour attirer des investisseurs dans leur société.

Cette affaire est à dissocier de celle du Burning Sun dans laquelle Seungri est également impliqué, puisque le club qu’il gérait est accusé d’avoir corrompu des policiers et d’avoir organisé le viol de nombreuses clientes par des V.I.P.

Après que les messages soient sortis dans la presse, la police a déclaré qu’elle allait enquêter et interroger toutes les personnes citées dans la conversation, tandis que Yuri Holdings et YG Entertainment se sont empressés de déclarer que tout ceci n’était qu’un tissu de mensonges, et que les messages avaient été fabriqués de toute pièce.

Ces déclarations ont eu du mal à passer du côté de SBS funE et de Kang Kyungyoon, la journaliste en question.

Ce 27 Février, la journaliste a en effet déclaré : « Il n’y a eu aucune manipulation au niveau des messages. A part utiliser de jolis mots pour rendre leurs expressions sales et dégradantes moins violentes pour le grand public, nous n’avons rien changé. Le contenu de la conversation est vrai. »

« Nous coopérerons activement avec la police et leur remettrons les preuves authentiques si on nous le demande », a conclu la journaliste.

Les internautes se sont depuis intéressés aux sujets couverts par la jeune femme, et on peut dire que son activité récente parle pour elle.

Kang Kyungyoon a en effet été l’une des premières journalistes à sortir des infos déterminantes sur des scandales récents. C’est en effet elle qui a découvert les arnaques menées par les parents de Microdot, l’arnaque menée par Kang Sung Hoon à l’encontre de ses fans et son agression par la suite, la vérité sur Jo Jae Hyun en révélant les accusations d’agressions sexuelles à son encontre, ou plus récemment la vidéo de surveillance ayant permis de prouver que Goo Hara n’était pas coupable dans l’affaire d’agression avec son petit ami.

En voyant son historique, les sud-coréens ont donc beaucoup de mal à croire qu’elle inventerait subitement de fausses informations, mais nous le saurons quand la police aura mené son enquête.

Source : ranking news