Un avocat dit que Daesung (BIGBANG) savait qu’il y avait de la prostitution dans l’immeuble avant qu’il l’achète

Daesung était-il au courant que des établissements illégaux opéraient dans l’immeuble avant qu’il n’en fasse l’acquisition ? Voilà la question qui est sur toutes les lèvres en Corée du Sud ces derniers jours.

Récemment, il a été révélé que des services de prostitution étaient proposées dans plusieurs étages d’un building appartenant au membre de BIGBANG.

La police va bien sûr enquêter sur ces établissements, mais aussi sur la responsabilité de Daesung en tant que propriétaire de l’immeuble, alors que la plupart de ces établissements ont subitement fermé.

La ligne de défense de Daesung dans cette affaire a été de déclarer qu’il avait acheter cet immeuble peu avant d’entamer son service militaire, et qu’il n’avait par conséquent pas conscience que des établissements illégaux y avaient déjà établi domicile.

Depuis, la question que tous les coréens se posent est la suivante : Daesung n’était-il vraiment pas au courant de ce qui se passait dans l’immeuble ?

Ce 30 Juillet, un avocat a en tout cas prétendu le contraire.

Cet avocat, qui a parlé aux médias sous le couvert de l’anonymat, a révélé que Daesung avait demandé de nombreux conseils auprès d’un cabinet d’avocats en Septembre 2017, deux mois avant d’acheter l’immeuble.

« Daesung est passé au cabinet le 20 Septembre 2017 pour demander s’il serait tenu responsable si on venait à découvrir que des établissements illégaux sont installés dans un building qu’il souhaitait acheter », a expliqué l’avocat.

Il a ensuite poursuivi : « Avant d’acheter l’immeuble, Daesung a travaillé avec un agent immobilier, un agent de banque et un cabinet d’avocats pour des conseils, et il demandait des choses comme quelles seraient les implications légales de contribuer à de la prostitution. »

Toujours d’après l’avocat, Daesung aurait également demandé s’il lui était possible de mettre dehors le gérant d’un établissement pratiquant des activités illégales, ce à quoi son équipe légale aurait répondu qu’il était impossible de le faire de façon unilatérale de la part du propriétaire de l’immeuble.

Source : kookmin ilbo