Weverse Magazine a tenu à nier son implication dans la rédaction des documents de HYBE qui ont récemment causé la controverse.
Récemment a eu lieu un audit de HYBE devant l’Assemblée Nationale, et cela a mené à la révélation de nombreux documents internes de HYBE, qui causent de sérieuses controverses en raison des commentaires de HYBE sur des artistes d’autres agences. Ces documents sont constitués de 18 000 pages saisies par l’Assemblée Nationale lors d’une descente chez HYBE, et une vingtaine de pages ont leaké sur internet, menant à une vague de critiques contre HYBE. Ces documents circulaient au sein de l’agence entre les directeurs et décideurs de HYBE.
Des documents internes ont notamment montré des campagnes de haine qui auraient été menées par l’agence contre des artistes comme aespa, RIIZE, et d’autres.
Des documents révèlent que HYBE aurait mené des campagnes de haine contre aespa, RIIZE, et d’autres
Durant l’audit, HYBE a accidentellement reconnu avoir manipulé les ventes de ses artistes, ce qui a également soulevé de nombreuses critiques, devant l’Assemblée Nationale et en ligne.
HYBE reconnaît accidentellement avoir manipulé les ventes de ses artistes
Dans de nouvelles révélations, on découvres des commentaires écrits chez HYBE faisant référence à trois idols féminines de JYP Entertainment : Yuna de ITZY, ainsi que Haewon et Kyujin de NMIXX, avec des commentaires sur le sex-apeal de Yuna, les lectures féministes de Haewon, ou encore des comparaisons entre Kyujin et Hong Eunchae de LE SSERAFIM.
Alors que des tas d’autres documents ont été révélés, montrant des commentaires sur des tas d’idols de l’industrie, il faut penser que ce que nous connaissons ne concerne que 20 pages environ sur les 18 000 saisies, donc les commentaires sur les autres idols doivent s’y trouver par milliers.
Seungkwan de SEVENTEEN a pris la parole sur Instagram dans la journée, y publiant un grand message pour protéger les idols qui souffrent de cette situation et apporter un peu de réconfort.
Sur le site officiel de HYBE, le PDG Lee Jae Sang a présenté des excuses par la suite via un communiqué.
D’après les révélations de l’audit, c’était un ancien éditeur en chef de Weverse Magazine qui rédigeait ces documents pour HYBE.
Le 10 novembre, Weverse Magazine a alors pris la parole pour nier toute implication dans cette affaire et pour préciser que l’éditeur en chef avait travaillé sur ces documents en dehors de son travail pour Weverse Magazine.
Dans un communiqué, le magazine a déclaré officiellement :
« Ici l’équipe de Weverse Magazine.
Nous nous excusons sincèrement pour avoir causé de l’inconfort et de l’inquiétude aux utilisateurs qui tiennent à Weverse Magazine en raison de la situation qui s’est produite à cause des documents de surveillance.
Nous tenons à clarifier plusieurs faits liés à cette affaire :
• Le document en question était quelque chose sur lequel l’ancien rédacteur en chef a travaillé séparément, de sorte que le personnel de Weverse Magazine n’était même pas au courant de l’existence du document.
• À l’exception de l’ancien rédacteur en chef, ni le personnel impliqué dans la production de Weverse Magazine ni les rédacteurs externes n’ont jamais participé à la rédaction du document de surveillance.
• L’ancien rédacteur en chef a été démis de ses fonctions et s’est vu interdire toute participation ultérieure au sein de Weverse Magazine. Quant aux travailleurs qui étaient chargés séparément de la surveillance par l’ancien rédacteur en chef, leur travail a également été suspendu.
Nous affirmons clairement que Weverse Magazine n’a rien à voir avec le document de surveillance controversé, et les membres de l’équipe de Weverse Magazine sont opposés au document en question.
Malgré cela, nous nous excusons une fois de plus d’avoir été mentionnés à propos de cette affaire désagréable et d’avoir causé de l’inconfort aux utilisateurs.
Weverse Magazine promet de récompenser ses lecteurs avec un contenu encore plus approfondi et plus abondant à l’avenir. »
Source : naver