BamBam (GOT7) montre son soutien à Lisa (BLACKPINK) et parle du racisme envers les idols thaïlandais

BamBam (GOT7) a récemment affiché son soutien à Lisa (BLACKPINK).

Visée récemment par des commentaires racistes de la part d’internautes sud-coréens, Lisa a été soutenue publiquement par Jennie lors du concert de BLACKPINK à Bangkok.

Lors d’une récente interview avec plusieurs médias thaïlandais, BamBam a alors parlé de Lisa, de son soutien envers elle, mais aussi du racisme auquel doivent faire face tous les idols thaïlandais.

Questionné pour savoir s’il avait entendu parlé de cette histoire de racisme à l’encontre de Lisa, BamBam a répondu : « Oui, j’ai entendu. En vérité, je suis ami avec Lisa, alors je l’ai déjà contactée pour lui donner mon soutien. »

« Réellement, ce n’est pas quelque-chose de si gros, parce que ça ne provient que d’une poignée de gens, donc ça n’aura pas d’impact sur Lisa parce qu’il y a beaucoup plus de personnes qui l’aiment et qui la soutiennent », a-t-il poursuivi.

« Je connais Lisa depuis avant nos débuts, alors je la connais bien. Elle a un grand cœur, elle est enjouée, elle a une bonne attitude. Certaines personnes ne l’ont peut-être pas remarqué, mais le temps prouvera sa bonté. Elle sait qu’elle est très aimée et très soutenue et elle m’a demandé de dire à ses fans qu’elle les remerciait si j’en avais la chance », a ensuite repris BamBam.

Il a également expliqué plus en détails : « Je l’ai appelée en premier, pour lui demander comment elle allait, parce que tous les idols thaïlandais en K-Pop se connaissent. Elle a dit qu’elle allait très bien, alors j’ai répondu : ‘Ne stresse pas trop, je t’inviterai à manger quand je rentrerai en Corée’. »

Quand on a demandé au jeune homme s’il avait lui-même déjà été victime de comportements racistes, il a répondu : « Ah, c’est quelque-chose d’habituel pour les idols thaïlandais. C’est peut-être plus dur dans le cas de Lisa, mais j’en ai été victime moi aussi. Je n’y prête juste pas attention. »

BamBam a ensuite révélé qu’il recevait surtout des commentaires racistes à ses débuts, mais que les choses s’étaient calmées avec le temps.

« A l’époque, ça me blessait seulement quand il critiquait mon chant, ma danse ou mon niveau de coréen, parce qu’ils jugeaient mes capacités. Mais j’ai compris qu’ils ne me jugeaient pas en se basant sur mes capacités, ils me jugeaient uniquement parce que j’étais thaïlandais. Alors je n’en prenais pas de cas », a-t-il affirmé.

BamBam a enfin rappelé que le cyber-harcèlement pouvait exister en Corée ou en Thaïlande, comme dans n’importe quel autre pays, mais que les gens qui se comportaient ainsi ne représentaient qu’une minorité, et qu’il ne fallait pas en faire une généralité.