Lee Hyunjoo (ex-APRIL) s’exprime sur les plaintes à son encontre et l’avancée de l’affaire suite à ses accusations de harcèlement contre les APRIL

L’affaire entre Lee Hyunjoo et APRIL fait de nouveau parler avec une mise à jour de la part de Lee Hyunjoo.

Pour rappel, les membres de début de APRIL (Somin de KARD, Naeun, Jinsol, Yena et Chaewon) sont accusées d’avoir harcelé Lee Hyunjoo à l’époque où elle faisait partie du groupe.

Après de nombreuses déclarations, notamment de la part des filles tentant de se défendre, il avait été annoncé que la police avait décidé de ne pas poursuivre le petit frère de Lee Hyunjoo, qui avait été celui mettant en lumière l’affaire en accusant les APRIL de harcèlement.

Aujourd’hui, et après que la mère de Chaewon a accusé Lee Hyunjoo de n’avoir présenté aucune preuve à la police durant l’enquête et d’avoir refusé une rencontre face-à-face, Lee Hyunjoo a pris la parole par le biais d’un communiqué.

Dans celui-ci, on peut lire :

« Bonjour, c’est Lee Hyunjoo.

Parce que le sujet est désagréable pour moi et pour vous tous en écoutant ces mots, et parce que ce n’est pas quelque-chose qui peut être résolu immédiatement juste en en parlant, j’essaie autant que possible de ne pas en parler jusqu’à la fin de l’enquête policière. Mais parce que de nombreuses personnes expriment actuellement leur frustration face à la situation et m’envoient des messages me demandant de parler, j’écris ce post malgré mon inquiétude à ce sujet.

Premièrement, pour expliquer la situation actuelle, je fais de mon mieux pour soumettre autant de preuves que je peux trouver en réponse aux accusations criminelles portées contre moi, ma famille et mes connaissances. Des poursuites supplémentaires ont été intentées contre moi après que j’ai publié ma déclaration, il y a donc maintenant quelques cas de plus qu’auparavant.

Pour expliquer les bases du déroulement des affaires,

Dans le cas de mon frère, bien que les accusations de diffamation contre lui aient été abandonnées, le plaignant a fait appel de la décision, le bureau du procureur mène donc actuellement les procédures d’appel.

Dans le cas de ma première amie, les accusations de diffamation contre elle ont été abandonnées, et bien que le plaignant ait fait appel de la décision, le bureau du procureur l’a finalement innocentée de toutes les accusations.

Dans le cas de ma deuxième amie, elle a fait l’objet d’une enquête policière pour diffamation et elle attend actuellement le verdict de la justice.

DSP a déposé une plainte supplémentaire contre moi pour entrave aux affaires, et après avoir subi une enquête policière, j’ai été innocentée des accusations.

La membre de APRIL A a porté plainte contre moi pour diffamation par l’intermédiaire du cabinet d’avocats B, et la police en est encore à l’étape de l’enquête.

La membre de APRIL C a également porté plainte contre moi pour diffamation par l’intermédiaire du cabinet d’avocats D, et la police est toujours au stade de l’enquête.

C’est vrai que parce qu’il y a tellement de cas et que les dépenses sont assez élevées, c’est très difficile. Je coopère avec diligence aux enquêtes, et à la lumière des nombreuses personnes qui me soutiennent, je les supporterai résolument afin de pouvoir annoncer de bonnes nouvelles.

De plus, en ce qui concerne les quelques points sur lesquels beaucoup de gens ont demandé des explications :

Concernant l’enquête en face-à-face, je n’ai jamais refusé une enquête en face-à-face, et je n’ai jamais reçu de demande d’enquête en face-à-face dans le cas pour lequel j’ai été accusée de refus.

En ce qui concerne mes dossiers médicaux, je suis désolée, mais c’est quelque-chose qui est trop sensible pour que je puisse le publier publiquement, et je ne veux pas non plus les révéler car ils pourraient être bouleversants. Encore une fois, je demande votre compréhension à ce sujet, et comme j’ai tout soumis aux autorités chargées de l’enquête, si vous attendez, je vous informerai des résultats.

Concernant les SMS de blâme des parents des membres de APRIL, je ne les ai pas soumis aux autorités chargées de l’enquête car ils n’étaient pas directement liés aux charges retenues contre moi, mon frère ou mes amies. C’est vrai que lorsque nous avons reçu les SMS, ma famille et moi nous sommes sentis très blessés à l’époque, mais en y repensant, je pense qu’il est possible que les parents des membres aient simplement envoyé leurs pensées du point de vue d’un parent par SMS. C’est pourquoi je n’ai pas l’intention de les révéler, et même si je les révélerai si chacun des membres de APRIL le demande, je doute et m’inquiète de savoir si je n’ai pas besoin de le faire.

Au moment de l’incident de la tasse, ma grand-mère était en très mauvaise santé et elle est maintenant décédée. À l’époque, elle n’avait pas été en mesure de me reconnaître, et quand elle a appris que je vivais dans un dortoir et que je ne pourrais pas lui rendre souvent visite à l’avenir, elle m’a donné une tasse qu’elle possédait. C’était donc une tasse qui m’était précieuse et que j’emportais toujours avec moi.

Quant au document indiquant que les charges retenues contre mon frère avaient été abandonnées, il a été révélé avec les preuves et les citations effacées. L’avocat pensait que sans savoir qui était le plaignant, si la preuve était révélée et que des personnes envisageaient de porter des accusations supplémentaires contre moi, elles pourraient voir la preuve à l’avance, ce qui serait désavantageux pour moi. Nous avons révélé le document afin de montrer que la police avait reconnu que j’avais été victime de harcèlement et que le communiqué de presse de DSP était différent de la vérité, mais l’avocat a omis la preuve parce qu’ils pensaient que pour les personnes qui ne sont pas familières avec ce genre de documents juridiques annonçant la décision de la police, la description des preuves et les citations pourraient provoquer une autre polémique. De plus, le plaignant peut accéder au document annonçant que les charges ont été abandonnées, donc si le plaignant décide qu’il doit le faire, il peut toujours révéler le document, et l’avocat a également pris en considération que ce processus nous permettrait de savoir qui est le plaignant.

Bien que ces incidents soient en grande partie du passé, il est toujours extrêmement difficile et pénible pour moi d’en parler publiquement. Malgré cela, j’ai pu m’en sortir jusqu’ici grâce aux personnes qui ont pensé à moi, et je pense que je pourrai aussi m’en sortir à l’avenir. Je remercie sincèrement les personnes qui croient en moi et me soutiennent. Le temps a passé et c’est déjà l’automne. J’espère que ces cas seront clos rapidement, afin que je puisse vous retrouver tous avec des nouvelles plus heureuses. »

Source : osen